Le véritable but de la vie des saints et des fidèles en Christ est le maintien d'une double relation - envers Dieu et envers ceux qui sont au-dehors. Le premier est couvert par la prière car il comprend l'adoration, la confession et la pétition. Cette vie doit être cultivée assidûment. Un élément nécessaire dans une telle vie est la vigilance. Pourtant, une telle vigilance ne doit pas être caractérisée par l'anxiété, car elle doit être "avec action de grâces.

" La gaieté, c'est se mêler à la prudence. Vers "ceux qui sont sans" le saint c'est marcher dans la sagesse. Cela encore est étroitement lié à la vie de prière. De plus, la parole du saint doit être caractérisée par la grâce et le sel, que est par courtoisie, et cependant par les qualités qui empêchent la corruption.

La lettre se termine par des références locales et personnelles. Les références à Tychique, Onésime, Aristarque, Marc et Jésus, sont caractérisées par la reconnaissance par Paul de leurs excellences. La seule image qui ressort est celle d'Epaphras. De toute évidence, lorsque la lettre a été écrite, il était avec Paul, et il s'efforçait de prier pour cette Église dont il était vraiment membre. Dans cette description d'Epaphras, nous avons un aperçu de son caractère.

Il priait pour eux afin qu'ils puissent "être parfaits et pleinement assurés de toute la volonté de Dieu". Quelle plus grande prière peut-on offrir à ses êtres chers que celle-ci, et quel plus grand service peut-on rendre que de lutter ainsi dans la prière en faveur des êtres chers ? Les derniers mots ont en eux une touche de pathétique. Prenant le stylet de celui à qui il avait dicté, il écrivit des mots qui indiquent à la fois son sens de la limitation et son désir de sympathie : « Souviens-toi de mes liens.

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