C'est le chant d'un principe, et le psalmiste commence par appeler les peuples de toutes castes et classes à prêter attention. Il nie le pouvoir de la richesse matérielle et affirme celui de la droiture. Il y a deux choses que la richesse ne peut pas faire. Elle ne peut ni aider un homme à échapper à la mort, ni assurer la vie de celui qui la possède. La passion du cœur pour l'immortalité se manifeste dans la construction de maisons et la désignation de la terre.

Tout cela est inutile. L'homme n'est pas plus capable d'assurer ainsi l'immortalité personnelle que ne le sont les bêtes qui périssent. Pourtant, il y a une maîtrise du shéol et de la mort. On le trouve dans la droiture. La déclaration : « Les hommes droits auront autorité sur eux le matin », est très difficile à expliquer si elle ne contient pas la lumière de l'espérance au-delà de la tombe. Le matin est certainement quelque chose au-delà du shéol et de la mort, et l'espérance des hommes droits est dans la délivrance de Dieu du shéol. L'enseignement de la chanson est simple et sublime, présent et perpétuel.

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