' Et ce sera, quand leurs pères et leurs frères viendront se plaindre avec colère contre nous, que nous leur dirons : ' Accorde-les-nous en cadeau. Car nous n'avons pas pris pour chacun sa femme au combat, et tu ne leur as pas donné non plus. Ou bien vous seriez maintenant coupable.

De toute évidence, une fois que la nouvelle des enlèvements serait connue, les pères et les frères des filles viendraient voir les aînés pour qu'ils s'occupent de la situation. Ensuite, les anciens présentaient leur plaidoyer, parlant au nom des Benjaminites. Ils feraient remarquer que les filles n'avaient pas été emmenées au combat (cela aurait rendu les Benjaminites à nouveau coupables d'avoir combattu la confédération). Ils n'avaient pas non plus été donnés gratuitement (cela aurait mis le blâme sur les pères qui ont donné leurs filles.

) Ainsi aucune alliance n'avait été rompue. Et ils demandaient que les parents donnent leurs filles, en cadeau pour eux, les aînés, pour préserver la tribu de Benjamin dans la confédération tribale. (Le langage peut être un euphémisme oriental typique. Le « cadeau » pourrait avoir inclus une forme de récompense).

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