' Et Joas dit à tous ceux qui se dressaient contre lui : « Tu plaideras pour Baal ? Ou allez-vous le sauver ? Celui qui plaidera pour lui, qu'il soit mis à mort, pendant qu'il est encore le matin. Si c'est un dieu, qu'il plaide pour lui-même, car on a brisé son autel. '

Joash a répondu intelligemment et a révélé toute son expérience en tant que meneur d'hommes. Il n'a pas discuté le point. Il les a accusés d'un sacrilège semblable à celui dont ils accusaient son fils.

« Allez-vous plaider pour Baal ? Ou allez-vous le sauver ? Pensaient-ils vraiment que Baal avait besoin d'eux pour le sauver, qu'ils avaient besoin d'eux pour faire valoir ses supplications ? Était-ce tout ce qu'ils pensaient de Baal ? Il a souligné qu'ils accusaient Baal de ne pas pouvoir s'occuper de ses propres affaires. Et que c'était un sacrilège de leur part et méritait la peine de mort immédiate. Ils ont été condamnés de leurs propres lèvres. Cela les amena à être vifs, ce qui dans leur état de frénésie était ce qui était nécessaire.

Puis il suggéra que l'attitude vraiment religieuse était de laisser à Baal le soin de se venger. S'il était un dieu, il le ferait. Il serait capable de faire ses propres plaidoyers, que ce soit auprès de Joas ou d'autres dieux et déesses. Et s'il ne le faisait pas, alors ils pourraient tirer leurs propres conclusions.

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