Cette section courte et simple traite des relations plus larges du disciple chrétien avec ses condisciples et avec le monde. C'est une extension de l'enseignement du Christ dans la Règle d'Or. Il est clairement démontré que souffrir pour la justice, c'est seulement marcher sur les traces du grand Précurseur, et qu'une telle vie est raisonnable, et que ses principes une fois compris peuvent être facilement justifiés pour les autres. L'espérance des chrétiens était le principal point susceptible d'être discuté, puisque c'était à la fois le trait le plus attrayant de leur foi et le plus difficile à croire.

Cette épître est pleine, comme nous l'avons vu, de l'idée d'espoir, et c'est pourquoi l'auteur y met l'accent lorsqu'il insiste sur la nature de leur apologie ou la justification de leur mode de vie, et sur sa pensée dominante. Christ doit dominer leurs cœurs, car Il constitue leur Espérance dans la présentation la plus parfaite de sa puissance.

1 Pierre 3:10 . celui qui aimerait la vie : cela ne représente pas tout à fait le Gr. de l'Ancien Testament, c'est-à-dire Celui qui désire la vie et aime plusieurs jours. Il a peut-être été modifié, car le Gr. est maladroit, ou pour donner un sens encore plus fin au passage, à savoir. que la beauté de la vie réside dans la volonté de l'individu. Il peut triompher de toutes les difficultés et de toutes les injustices, et rendre toute vie digne d'être aimée. Comme Tennyson le formule :

Que ma journée soit brève,

Ainsi tu frapperas ta gloire tout au long du jour.

1 Pierre 3:14 . ne craignez pas leur peur : n'ayez pas peur de leurs menaces.

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