1 Corinthiens 15:55 , 1 Corinthiens 15:56 .

Le triomphe sur la mort.

I. Le trait le plus remarquable du triomphe sur la mort est la reconnaissance de la victoire de la mort et de la manière dont elle l'a été. Le triomphe est ainsi vu comme un triomphe d'un caractère humiliant et mortifiant. Le chant triomphal est principalement occupé par une reconnaissance de la conquête indigne de la mort, maintenant heureusement et glorieusement inversée. Une piqûre et une victoire lui appartenaient autrefois, mais où sont-elles maintenant ? La mort a donc une victoire.

C'est un conquérant, le conquérant. Tous les autres conquérants lui cèdent ; il ne cède à aucun. Il prête son aide à d'autres conquérants. Au moyen de lui et de ses instruments de destruction, ils réussissent. Mais quoi qu'ils puissent conquérir d'autre, ils ne peuvent pas le conquérir. Lui, au contraire, les vainc. Ni la science ni le pouvoir, ni les arts ni les armes ne peuvent le vaincre. Les traces de sa victoire sont partout. C'est une telle victoire qu'une piqûre pourrait s'attendre à gagner. Car certainement une piqûre est une sorte d'arme vile, et toute victoire obtenue par elle doit être vile.

II. La mort est l'humiliation de l'homme. Le péché est son aiguillon. Il vient pour vaincre, introduit par le péché. Sin ouvre traîtreusement les portes et lui permet d'entrer dans la ville. Et en entrant, il oblige le traître à devenir son outil. Le péché est son arme ainsi que son mandat. Littéralement et catégoriquement, l'aiguillon de la mort est le péché.

III. Mais la victoire est à nous. C'est une victoire qui ne cesse de s'éclaircir à mesure que nous poursuivons notre chemin et notre vocation chrétienne. La sécurité de celui-ci est de plus en plus clairement perçue. La paix de celui-ci est de plus en plus profondément ressentie. La haute espérance qu'elle anime saisit de plus en plus avidement la plénitude de son éternelle joie céleste.

RS Candlish, La vie dans un sauveur ressuscité, p. 266.

Références : 1 Corinthiens 15:56 . JM Gibson, Christian World Pulpit, vol. xxv., p. 56. 1 Corinthiens 15:56 ; 1 Corinthiens 15:57 . Spurgeon, Sermons, vol. i., n° 23 ; FW Robertson, Sermons, 3e série, p. 212 ; Homiliste, 1ère série, vol. je., p. 98.

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