Ainsi parle le Seigneur : Où est la facture du divorce de ta mère ?

Jéhovah et Israël infidèle

Ces Israélites se tournèrent vers le seul type de loi qu'ils connaissaient et en empruntèrent deux de ses formes, qui ne leur étaient pas seulement suggérées par les relations dans lesquelles la nation et les fils de la nation se tenaient respectivement envers Jéhovah, en tant qu'épouse et enfants, mais illustrait admirablement les idées qu'ils voulaient exprimer.

(1) Il y avait la forme de divorce, si expressive des idées d'absolu, de délibéré et de finalité - d'absolu, car dans tout l'Orient, le pouvoir de divorce appartient entièrement au mari ; délibérément, car afin d'empêcher un divorce précipité, la loi hébraïque exigeait que le mari fasse une loi ou un écrit de divorce au lieu de seulement prononcer le renvoi ; et de la finalité, pour une telle écriture en contraste avec le licenciement parlé, a mis le divorce au-delà du rappel.

(2) L'autre forme que les sceptiques ont empruntée à leur loi était une forme qui, tout en illustrant également le caractère irrévocable de l'acte, mettait l'accent sur l'impuissance de l'agent - l'acte du père qui a mis ses enfants à l'écart, non pas comme le mari a mis sa femme dans sa colère, mais dans sa nécessité, les vendant pour payer ses dettes et parce qu'il était en faillite.

(3) Sur de tels doutes, Dieu se tourne avec leur propre langage--« J'ai en effet renvoyé votre mère, mais où est le projet de loi qui rend son divorce définitif, irrévocable ? Vous avez bien été vendu, mais était-ce parce que j'étais en faillite ! A qui donc de Mes créanciers (notez le mépris du pluriel) est-ce que je vous ai vendu ? Non, au moyen de vos iniquités vous vous êtes vendus, et au moyen de vos transgressions vous avez été répudiés.

Mais je me tiens là, prêt comme jamais à sauver, moi seul. S'il y a une difficulté au sujet de votre restauration, c'est en cela que je suis seul, sans réponse ni assistance des hommes. ( Professeur GA Smith, DD .)

La responsabilité du pécheur

I. L'ÉTAT MISÉRABLE DU PÉCHEUR.

1. Séparé de Dieu.

2. Vendu sous le péché.

II. L'OCCASION DE LUI. Pas la volonté de Dieu, mais son propre amour du péché, et son mépris conséquent des offres de Dieu de délivrance du péché et de la douleur. ( J . Lyth, DD ).

Israël s'est auto-ruiné

Ceux qui ont professé être le peuple de Dieu, et pourtant semblent être sévèrement traités, sont enclins à se plaindre de Dieu et à lui imputer la faute, comme s'il les avait sévèrement traités. Mais en réponse à leurs murmures, nous avons ici...

I. UN DEFI POUR PRODUIRE TOUTE PREUVE QUE LA QUERELLE A COMMENCÉ DU CTÉ DE DIEU ( Ésaïe 50:1 ).

II. UNE CHARGE QU'ILS ÉTAIT EUX-MÊMES L'AUTEUR DE LEUR RUINE. « Voici, pour vos iniquités », etc.

III. UNE CONFIRMATION DE CE DÉFI ET DE CETTE CHARGE ( Ésaïe 50:2 ).

1. Il était clair que c'était leur propre faute s'ils avaient été rejetés, car Dieu est venu et leur a offert sa main secourable, soit pour prévenir leur trouble, soit pour les en délivrer, mais ils l'ont méprisé ainsi que toutes les offres de son la grâce.

2. Il était clair que ce n'était pas à cause d'un manque de puissance en Dieu qu'ils furent conduits dans la misère de la captivité, et y restèrent, car il est tout-puissant. Ils manquaient de foi en Lui, et ce pouvoir n'a donc pas été exercé en leur faveur. Ainsi en est-il encore des pécheurs. ( M. Henri. )

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