Tous les hommes sont morts qui cherchaient ta vie.

La mort des ennemis

1. Dans un monde comme celui-ci, plus l'homme est grand, plus il aura d'ennemis.

2. La mort dans ce monde balaie constamment nos ennemis ainsi que nos amis.

I. La mort de nos ennemis devrait contenir le ressentiment. S'il n'y avait pas tort de rendre le mal pour le mal, d'injurier ceux qui nous injurient, ce ne serait guère sage. Pendant que nous préparons nos machines de représailles, la mort fait son œuvre avec elles. Nos coups les atteindront à peine avant qu'ils ne tombent, et puis, quand ils sont partis, ils ne peuvent plus nous faire de mal. Mais si nous avons riposté, le souvenir des représailles nous fera souffrir.

II. La mort de nos ennemis devrait nous inciter à vaincre le mal par le bien. La conquête la plus sublime n'est pas celle qui écrasera le corps ou blessera les sentiments, mais celle qui soumettra l'inimitié et gagnera l'âme hostile à l'amitié et à l'amour. ( homéliste. )

La précaution divine pour la sécurité des ouvriers chrétiens

I. Elle se manifeste parfois par l'éloignement des bons et des grands ouvriers des associations dangereuses.

1. Les ouvriers chrétiens sont parfois éloignés de l'orgueil de la haute société.

2. Les ouvriers chrétiens sont parfois soustraits à la contamination du grand péché.

3. Les ouvriers chrétiens sont parfois éloignés du pédantisme du grand savoir.

4. Les ouvriers chrétiens sont parfois éloignés du mal physique.

II. Elle se manifeste parfois en informant les bons et les grands ouvriers de l'éloignement du danger. Le temps aide les entreprises du ciel. La mort dompte la haine et la passion des hommes.

III. La précaution divine ne permet pas un abandon de l'œuvre engagée pour le bien. ( JS Exell, MA )

Mort des ennemis

Entendant tout un chœur d'oiseaux gazouiller joyeusement ensemble, ma curiosité était excitée de me renseigner sur l'occasion de leur convocation et de leur gaieté, quand j'aperçus rapidement un faucon mort dans la brousse, dont ils faisaient tant de bruit, semblant triompher de la mort. d'un ennemi. Je ne pouvais pas leur reprocher de sonner le glas de celui qui, tel un cannibale, avait coutume de se nourrir de leurs corps vivants, de les déchirer membre par membre et de les effrayer de son affreuse apparence.

Sur cet oiseau si redoutable vivant, le troglodyte ou la mésange les plus timides ne craignaient plus désormais de gazouiller et de sauter. Cet événement m'a rappelé le cas des tyrans et des oppresseurs. Lorsqu'ils vivent, ils sont la terreur de l'humanité ; mais lorsqu'ils sont morts, ils sont l'objet du mépris et du mépris général. « Quand les méchants périssent, il y a des cris » ( Proverbes 11:10 ).

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