Or, ce sont les paroles de la lettre que Jérémie le prophète a envoyée.

Messages aux exilés

I. Le fait même qu'un message leur ait été envoyé en vertu d'une nomination divine expresse était une consolation. Partout où les enfants de Dieu sont dispersés, la Parole écrite est pour eux une source d'encouragement permanent. Dans les voies les plus sévères de la justice, Dieu n'oublie pas ses propres enfants, mais a en réserve d'amples consolations pour eux, quand ils se trouvent sous le jugement commun

II. La providence particulière de Dieu, apparaissant pour eux sous toutes leurs calamités, était une source de consolation.

1. Il est le Seigneur des armées, de toutes les armées d'en haut et d'en bas, et pourtant c'est le Dieu d'Israël ; et bien qu'il permet leur captivité, il ne rompt pas sa relation avec eux, leur alliance-Dieu toujours, bien que sous un nuage.

2. Il assume l'agent actif de leur dispersion. « Je les ai fait emporter. » Certes, ce doit être un grand péché qui pousse un père aimant à jeter son enfant à la porte. Mais le péché est un grand diffuseur, et il est toujours suivi d'un éloignement et d'un rejet. Pourtant, le fait que Dieu soit l'agent de leur dispersion est qualifié de motif de consolation ; puisqu'il nous réconcilie avec nos peines de voir la main de Dieu en eux, et d'y tracer un dessein toute miséricordieux et miséricordieux.

III. La promesse de la stabilité et de la sécurité de leurs intérêts sociaux et domestiques a été donnée.

IV. La perspective d'une issue certaine et favorable à leurs épreuves (verset 11). ( S. Thodey .)

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