Mais les enfants d'Israël ont commis une faute

La responsabilité des entreprises

Ceci est ici attribué à tout le peuple, ce qui n'était en réalité que l'acte d'un seul homme ou d'une seule famille.

Ce n'est pas à cause d'une participation coupable à cette intrusion par d'autres ; il n'y a aucune indication que d'autres personnes ont été impliquées dans un crime similaire. Il n'y a pas non plus d'implication que d'autres étaient au courant du crime d'Acan, et par la dissimulation du fait sont devenus ses complices et les participants de sa culpabilité. Selon toute probabilité, son acte n'était pas connu ou suspecté au-delà des limites de sa propre famille.

Néanmoins, Israël était un seul peuple, et il est traité ici comme une seule personne morale. Il y avait de la criminalité au milieu d'eux. Et il fallait qu'elle fût désavouée et punie, afin que le peuple fût libéré de toute complicité et liaison avec elle. ( WH Vert, DD )

Destruction un devoir

Bien des choses qui sont attrayantes en elles-mêmes doivent être détruites ; et s'il doit être détruit, il ne doit pas être conservé. Le contenu d'un salon ou d'une maison de jeu, les livres et les tableaux nuisibles en eux-mêmes, qui sont, par leurs propriétaires ou par les pouvoirs publics, voués à la destruction, doivent être détruits. Conserver une partie d'entre eux, dans de telles circonstances, serait un tort de la part de celui dont le devoir était de les détruire.

Conserver une lettre privée qui est confiée à quelqu'un pour détruire n'est pas en soi un vol, mais c'est un abus de confiance inexcusable ; et si personne d'autre au monde n'en est jamais blessé, celui qui conserve la lettre en est le pire. La destruction de ce qui doit être détruit est aussi clairement un devoir à sa place, que la conservation de ce qui doit être conservé. ( HC Trumbull. )

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