Tu es mon Fils bien-aimé.

Humiliation et exaltation

Il serait bon que nous nous souvenions que notre grand exemple a été le plus élevé juste au moment où son humiliation était la plus profonde ; que c'est lorsqu'il s'est fait un avec les fils des hommes qu'il a été déclaré Fils - le Fils bien-aimé - de Dieu. C'est un gage que l'esprit humble et soumis sera grandement sanctifié, et qu'il n'y a pas de moyen plus sûr de gagner l'approbation de Dieu qu'en cédant nos volontés à l'autorité de ceux qui nous sont placés par le Seigneur, et en nous efforçant d'accomplir les règles de l'Église dans l'esprit de Celui qui accepta aussitôt ce que son Père avait désigné. « Dieu résiste aux orgueilleux, mais fait grâce aux humbles. » ( HM Luckock, DD )

« Mon fils bien-aimé »

I. Une expression d'affection et d'approbation. Le Père a rendu témoignage au Fils. Non seulement pour l'amour du Christ, mais pour le nôtre, est venue cette voix, approuvant le caractère et authentifiant la mission du Fils de Dieu.

II. Un appel implicite et faisant autorité à la foi humaine, à l'attachement et à l'obéissance. Celui dont parle ainsi le Père est digne de tout notre honneur, reconnaissance et dévotion. ( Famille ecclésiastique )

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