Que l'intégrité et la droiture me préservent ; car je t'attends.

Résolutions prises et force invoquée pour une année de service

Que devraient faire nos souvenirs pour nous ? Si nous sommes vraiment humbles et reconnaissants pour le passé, que devrions-nous résoudre maintenant ? Nous devons nous efforcer de « croître dans la grâce », afin que « l'amour puisse abonder de plus en plus ». Comment pouvons-nous réaliser ce désir, car nous avons beaucoup d'ennemis ?

1. La première disposition essentiellement requise pour notre succès est dite « l'intégrité et la droiture ». La requête implique qu'il serait sincère et droit envers Dieu. Si nous voulons être sincères, nous devons corriger nos propres fautes. Nous devons chérir les dispositions que Dieu approuve. Nous devons essayer de mieux remplir notre devoir. Et nous devons faire tout le bien que nous pouvons. Nous avons des exemples dans l'Écriture de résolutions qui ont été très infructueuses.

Israël a dit au Sinaï : « Tout ce que le Seigneur a dit, nous le ferons. » Et pourtant, en moins de six semaines, ils dansaient devant le Veau d'or. Certes, l'épave de bien des espoirs légitimes au cours des années passées peut nous dire qu'il n'est pas sage de dépendre de nous-mêmes. Le psalmiste dit : « Car je m'attends à toi » - « Je compte sur toi pour maintenir cette intégrité, je compte sur toi pour la bénir, sans toi je ne peux ni rester debout ni obtenir une bénédiction de la droiture.

« La grâce de Dieu seule peut nous faire profiter de tous les avantages extérieurs. C'est Dieu qui doit nous aider à vaincre la moindre faute. C'est Dieu seul qui peut nous aider à marcher avec une certaine fermeté sur le chemin de l'obéissance. ( Baptiste W. Noël, MA )

Justice, honnêteté, vérité et sincérité

L'intégrité et la droiture sont des termes de même importance et signifient une vertu qui est essentielle à toute vraie religion et morale.

I. La nature de l'intégrité ou de la droiture dans nos relations avec les hommes.

1. En ce qui concerne nos actions ; et ainsi cela peut être pris pour de la justice et de l'honnêteté, en opposition au fait de blesser et de tricher. Il est très malhonnête d'emprunter de l'argent ou des biens, ou de faire du commerce à crédit, sans desseins honnêtes et sans perspectives équitables de payer à chacun le sien.

2. En ce qui concerne nos paroles. Cela peut être considéré comme la vérité, par opposition au mensonge. Mais pour comprendre un mensonge, il y a des distinctions morales auxquelles il faut prêter attention. Le mal du mensonge consiste à savoir ou à penser une chose et à en dire une autre dans l'intention de tromper. Il y a des mensonges que les hommes appellent ridicules, mais il vaut mieux les éviter. D'autres, appelés, officieux, auxquels on dit de cacher une faute, ou d'empêcher quelque méfait. Le pire de tous est le mensonge injurieux.

II. Recommandez cette intégrité.

1. Dans sa beauté native.

2. Pour la réalité et l'honneur de la religion. Toute religion est une moquerie et un vain semblant sans elle.

3. La sécurité et le bonheur de toute la société en dépendent. Il n'y a pas de vie avec un homme au cœur et à la langue faux.

4. L' intégrité est d'un grand avantage pour nous-mêmes. Elle prévient l'abondance de la culpabilité, et bien des blessures lancinantes dans la conscience auxquelles un tempérament et un comportement contraires nous soumettraient. Il nous protège de l'opprobre et de la vengeance des hommes méchants. Cela devrait exciter un souci religieux, sur les principes chrétiens, de dépasser le plus brillant des païens dans notre conduite morale. Veillons à ce que nos cœurs se redressent par le renouvellement de nos esprits. ( J. Guise, DD )

Intégrité

La véracité, l'intégrité et la bonté - des qualités qui ne dépendent du souffle d'aucun homme - forment l'essence du caractère viril, ou, comme l'un de nos anciens écrivains l'a dit, « cette loyauté innée envers la vertu qui peut la servir sans livrée. " Celui qui possède ces qualités, unies à la force de son objectif, porte en lui un pouvoir irrésistible. Il est fort pour faire le bien, fort pour résister au mal et fort pour supporter les difficultés et les malheurs.

Quand Étienne de Colonna tomba entre les mains de ses assaillants vils et qu'ils lui demandèrent en dérision : « Où est maintenant votre forteresse ? « Voici », fut sa réponse audacieuse, plaçant sa main sur son cœur. C'est dans le malheur que le caractère de l'homme droit brille du plus grand éclat ; et quand tout le reste échoue, il prend position sur son intégrité et son courage. ( Chrétien Hebdomadaire. )

Psaume 26:1

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