Et il écrivit dans la lettre, disant : Mettez Urie au premier rang de la bataille la plus chaude, et retirez-vous de lui, afin qu'il soit frappé et qu'il meure.

Ver. 15. Mettez Uriah au premier plan de la bataille la plus chaude. ] Ici, David le projette en effet avec une habileté infernale : sans penser à quel point ce péché cramoisi pèserait bientôt sur sa conscience, ne le faisant pas moins souffrir que si tous ses os avaient été brisés. Psa 51:8-14 Joab ne connaîtrait peut-être pas la cause de cette lettre sanglante, mais il comprendra par là qu'Urie avait mérité la mort d'une certaine manière, mais il ne pouvait pas ne pas savoir que selon la loi, personne ne devrait être mis à mort sans témoins, deux ou trois, produites contre lui ; son obéissance, par conséquent, à un ordre si tyrannique ne peut être justifiée.

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