Et elle dit : Qui aurait dit à Abraham que Sara aurait dû allaiter les enfants ? car je lui ai né un fils dans sa vieillesse.

Ver. 7. Que Sarah aurait dû téter les enfants. ] Elle eut donc une double bénédiction, - du ventre et des seins. Du lait qu'elle avait à ces années-là, et en grande réserve aussi : d'où on dit qu'elle « donne le sein aux enfants », pas seulement un enfant. Elle aurait pu soigner un autre pour un besoin, en plus du sien. Notez que bien qu'elle fût une grande dame, elle était pourtant infirmière. Que ce ne soit pas la gentillesse, mais la nécessité qui empêche toute mère de le faire ; de peur qu'elle ne soit trouvée plus monstrueuse que les « monstres marins », qui « tirent leur sein et donnent le sein à leurs petits ». Lam 4:3 S'il faut sortir l'enfant, qu'on s'occupe d'une bonne nourrice. Quidam scrofae lacte nutritus cum esset, in coeno sese identidem volutabat. une

a Sphinz Philosoph., p. 235.

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