Les Juifs dirent donc à celui qui était guéri : C'est le jour du sabbat : il ne t'est pas permis de porter ton lit.

Ver. 10. C'est le sabbat, ce n'est pas permis, etc. ] Vere, sed non sincère. Vraiment mais pas sincèrement. Cela les troublait plus que Christ l'ait guéri que que le sabbat ait été brisé par lui. Les Suédois les plus pauvres enfreignent toujours le sabbat, en disant qu'il n'appartient qu'aux messieurs d'observer ce jour.

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