Si tu as couru avec les valets de pied et qu'ils t'ont fatigué, alors comment peux-tu lutter contre les chevaux ? et [si] dans la terre de paix, [en laquelle] tu avais confiance, [ils t'ont fatigué], alors comment feras-tu dans la crue du Jourdain ?

Ver. 5. Si tu as couru avec les valets de pied. ] Ici, Dieu renvoie une réponse à la plainte précédente du prophète, dit le Chaldéen, en le contrôlant en partie pour son mécontentement, et en l'excitant en partie à une humble soumission et à une résolution bien soudée.

Alors comment lutteras-tu avec les chevaux ? ] Si tes compatriotes d'Anathoth te surpassent et te dominent, comment traiteras-tu ceux de Jérusalem, qui sont bien pires ?

Et si dans une terre de paix. ] Ce sont des discours proverbiaux, tous deux dans un seul but :

« Ferre minora velis, ut graviora feras. "

Comment supporterais-tu les blessures pour le Christ, qui ne supporte pas les paroles ? dit-on. Et comment ferez-vous frire un pédé qui sursautera à un reproche de vérité ? Pendant que William Cobberly, martyr, était en durance, sa femme également, appelée Alice, appréhendée, était dans la maison du gardien en même temps détenue, où la femme du gardien avait secrètement chauffé un feu de clé, et l'avait posé dans l'herbe sur le face arrière ; ainsi, parlant à Alice Cobberly de lui chercher la clé en toute hâte, elle alla en toute hâte apporter la clé, et la prenant en toute hâte, se brûla piteusement la main, sur quoi elle s'écria : Ah, tu es terne ! Dit l'autre, toi qui ne peux supporter la brûlure de ta main, comment pourras-tu supporter la brûlure de tout ton corps ? Et donc elle s'est ensuite repentie. une

a Actes et lun., fol. 1719.

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