Psaume 144:10 [C'est lui] qui donne le salut aux rois, qui délivre David, son serviteur, de l'épée malfaisante.

Ver. 10. C'est lui qui donne le salut (ou la victoire) aux rois] Ferdinand, roi d'Aragon, envoyant son fils contre les Florentins, lui parla ainsi : Victoria mihi crede, non hominum disciplinis aut industria comparatur, sed Dei OM benignitate et arbitrio, Deum igitur imprimis cole, in eum confide, a quo tum victorias omnes tum optima quaeque provenire dubio procul est, &c . , p. 516).

Qui délivre David son serviteur ] Tous les rois sont serviteurs de Dieu pour le bien commun de l'humanité, dit Plutarque, mais David par une spécialité (Plut. προς ηγεμονα απαιδευτον).

De l'épée blessante ] De Goliath, dit le Chaldéen, et de tous ses autres ennemis; car (comme on l'a dit de la reine Elizabeth) il a nagé jusqu'à la couronne à travers une mer de douleurs, et pourrait plutôt s'étonner qu'il l'était, que de penser qu'il ne devrait pas être, si la main sainte de Dieu ne l'avait protégé au-delà de toute attente.

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