1-9 Toute affliction naît du péché et doit nous conduire à nous repentir et à nous humilier devant Dieu; mais certains troubles montrent surtout qu'ils sont envoyés pour rappeler le péché. Les jugements de Dieu ont souvent l'air d'un bon retour, ce qui nous oblige à le faire, lorsque nous sommes sous ses réprimandes. Il ne nous appartient pas de nous opposer à la douleur du peuple pour le péché de son roi; peut-être l'ont-ils aidé. Ni contre cette génération qui souffre du péché de la dernière. Dieu visite souvent les péchés des pères sur les enfants, et il ne rend compte d'aucune affaire. Le temps n'épuise pas la culpabilité du péché; nous ne pouvons pas non plus construire d'espoir d'évasion sur le retard des jugements. Si nous ne pouvons pas comprendre toutes les raisons de la Providence dans cette affaire, nous n'avons toujours pas le droit d'exiger que Dieu nous informe de ces raisons. Cela doit être juste, parce que c'est la volonté de Dieu, et à la fin, il sera prouvé que c'est ainsi. L'argent n'est pas une satisfaction pour le sang. Cela devrait sembler, la postérité de Saül a foulé ses pas, car cela s'appelle une maison sanglante. C'était l'esprit de la famille, donc ils sont justement comptés pour son péché, ainsi que pour le leur. Les Gabaonites n'ont pas exigé cela par méchanceté contre Saül ou sa famille. Ce n'était pas pour se venger, mais pour le bien public. Ils ont été mis à mort au début de la moisson; ils furent ainsi sacrifiés pour détourner la colère du Dieu Tout-Puissant, qui avait refusé la moisson-miséricorde depuis quelques années, et pour obtenir sa faveur dans la moisson actuelle. En vain attendons-nous la miséricorde de Dieu, à moins que nous ne rendions justice à nos péchés. Les exécutions ne doivent pas être considérées comme cruelles, qui sont pour le bien public.

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