8-22 Le mot «jubilé» signifie un son particulièrement animé des trompettes en argent. Ce son devait être fait le soir du grand jour de l'expiation; car l'annonce de la liberté et du salut de l'Évangile résulte du sacrifice du Rédempteur. Il était prévu que les terres ne devraient pas être vendues à leurs familles. Ils ne pouvaient être cédés, pour ainsi dire, que par des baux jusqu'à l'année du jubilé, puis rendus au propriétaire ou à son héritier. Cela tendait à préserver leurs tribus et leurs familles distinctes, jusqu'à la venue du Messie. La liberté à laquelle chaque homme est né, si elle est vendue ou perdue, devrait revenir à l'année du jubilé. C'était typique de la rédemption par Christ de l'esclavage du péché et de Satan, et d'être ramené à la liberté des enfants de Dieu. Tous les marchés doivent être faits selon cette règle: «Vous ne vous opprimerez pas les uns les autres», ne profiterez pas de l'ignorance ou de la nécessité de l'autre, «mais vous craindrez votre Dieu». La crainte de Dieu régnant dans le cœur empêcherait de faire du mal à notre prochain en paroles ou en actes. L'assurance a été donnée qu'ils devraient être de grands gagnants, en observant ces années de repos. Si nous prenons soin de faire notre devoir, nous pouvons faire confiance à Dieu pour notre réconfort. C'était un miracle pour un encouragement à tous ni semé ni récolté. Ce fut un miracle pour un encouragement à tout le peuple de Dieu, à tous les âges, à lui faire confiance dans la voie du devoir. Il n'y a rien de perdu par la foi et l'abnégation de soi dans l'obéissance. Certains ont demandé: Que mangerons-nous la septième année? Ainsi, de nombreux chrétiens anticipent les maux, s'interrogent sur ce qu'ils doivent faire et craignent de suivre la voie du devoir. Mais nous n'avons pas le droit d'anticiper les maux, de manière à nous en affliger. Pour les esprits charnels, nous pouvons sembler agir de manière absurde, mais le chemin du devoir est toujours le chemin de la sécurité.

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