35-44 Il était habituel de faire honte aux malfaiteurs, par un écrit pour signaler le crime pour lequel ils ont souffert. Alors ils en ont installé un au-dessus de la tête de Christ. Ceci ils ont conçu pour son reproche, mais Dieu l'a tellement écarté, que même son accusation était à son honneur. Il y avait crucifié avec lui en même temps, deux voleurs. Il fut, à sa mort, compté parmi les transgresseurs, afin que nous, à notre mort, puissions être comptés parmi les saints. Les railleries et les railleries qu'il a reçues sont ici enregistrées. Les ennemis du Christ s'efforcent de faire croire aux autres celle de la religion et du peuple de Dieu, qu'ils savent eux-mêmes être faux. Les principaux sacrificateurs et scribes, ainsi que les anciens, ont reproché à Jésus d'être le roi d'Israël. Beaucoup de gens pourraient assez bien aimer le roi d'Israël, s'il voulait descendre de la croix; s'ils pouvaient mais avoir son royaume sans la tribulation par laquelle ils doivent y entrer. Mais s'il n'y a pas de croix, alors pas de Christ, pas de couronne. Ceux qui régneraient avec lui doivent être prêts à souffrir avec lui. C'est ainsi que notre Seigneur Jésus, ayant entrepris de satisfaire la justice de Dieu, l'a fait, en se soumettant au châtiment du pire des hommes. Et dans chaque minute particulière rapportée sur les souffrances du Christ, nous trouvons une prédiction dans les prophètes ou les psaumes accomplie.

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