10-20 Nous avons ici les déménagements des enfants d'Israël, jusqu'à leur arrivée dans les plaines de Moab, d'où ils ont passé le Jourdain à Canaan. La fin de leur pèlerinage était proche. "Ils sont partis." C'était bien si nous faisions ainsi; et plus nous nous approchons du ciel, nous étions d'autant plus actifs et abondants dans l'œuvre du Seigneur. On parle ici du merveilleux succès que Dieu a accordé à son peuple et, parmi les autres, de leurs actions sur la rivière Arnon, à Vaheb dans Suphah et à d'autres endroits sur cette rivière. À chaque étape de notre vie, non, à chaque étape, nous devrions remarquer ce que Dieu a fait pour nous; ce qu'il a fait à un tel moment, et ce qu'il a fait dans un tel endroit, doit être clairement rappelé. Dieu a béni son peuple avec un approvisionnement en eau. Quand nous viendrons au ciel, nous nous déplacerons au puits de la vie, la fontaine des eaux vives. Ils l'ont reçu avec joie et reconnaissance, ce qui a rendu la miséricorde doublement douce. C'est avec joie que nous devons puiser l'eau des puits du salut, Ésaïe 12:3. De même que le serpent d'airain était une figure du Christ, qui est élevé pour notre guérison, ainsi est-ce bien une figure de l'Esprit, qui est répandu pour notre confort, et de qui coulent vers nous des fleuves d'eaux vives, Jean 7:38; Jean 7:39. Cela jaillit-il bien dans nos âmes? Si c'est le cas, nous devons prendre le réconfort pour nous-mêmes et donner la gloire à Dieu. Dieu a promis de donner de l'eau, mais ils doivent ouvrir le sol. Les faveurs de Dieu doivent être attendues dans l'utilisation de tels moyens qui sont en notre pouvoir, mais la puissance n'est toujours que de Dieu.

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