De là, donc, toute la consolation des pieux, qu'ils sont associés avec Christ, afin que désormais ils puissent participer à sa gloire; car nous devons toujours garder à l'esprit cette transition de la croix à la résurrection. Mais comme ce monde est comme un labyrinthe, dans lequel aucune fin de maux n'apparaît, Pierre se réfère à la future révélation de la gloire du Christ, comme s'il avait dit, que le jour de sa révélation ne doit pas être négligé, mais doit être attendu. . Mais il mentionne une double joie, l'une dont nous jouissons maintenant dans l'espérance, et l'autre le plein fruit dont la venue du Christ nous apportera; car le premier est mêlé de chagrin et de chagrin, le second est lié à l'exultation. Car il ne convient pas au milieu des afflictions de penser à la joie, qui peut nous libérer de tout trouble; mais les consolations de Dieu modèrent les maux, pour que nous puissions nous réjouir en même temps.

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