14 Avertissez les indisciplinés. C'est une doctrine courante - que le bien-être de nos frères devrait être l'objet de notre préoccupation. Ceci est fait par enseignant , avertissant, corrigeant et excitant; mais, comme les dispositions des hommes sont diverses, ce n'est pas sans raison que l'apôtre ordonne aux croyants de s'accommoder de cette variété. Il ordonne donc que les indisciplinés (607) soient avertis, c'est-à-dire ceux qui vit de façon dissolue . Le terme admonition , également, est utilisé pour désigner une réprimande sévère, qui peut les ramener dans la bonne voie, car ils méritent une plus grande sévérité, et ils ne peut être amené à la repentance par aucun autre remède.

Vers les timides un autre système de conduite doit être poursuivi, car ils ont besoin de consolation. Le faible doit également être assisté. Par timide, cependant, il désigne ceux qui sont d'un esprit brisé et affligé. Il les favorise donc, ainsi que les faibles , de manière à désirer que les indisciplinés doit être retenu avec un certain degré de sévérité. D'un autre côté, il ordonne que les indisciplinés soient vivement avertis, afin que les faibles puissent être traités avec gentillesse et humanité, et que les les timides peuvent recevoir une consolation. Il est donc inutile que ceux qui sont obstinés et insolubles demandent à être caressés de façon apaisante, dans la mesure où les remèdes doivent être adaptés aux maladies.

Il recommande cependant patience envers tous , car la sévérité doit être tempérée avec un certain degré de clémence, même en traitant les indisciplinés . Cette patience , cependant, est, à proprement parler, contrastée avec un sentiment d'irritation, (608) pour rien ne sommes-nous plus enclins à nous sentir fatigués quand nous nous mettons à guérir les maladies de nos frères. L'homme qui a réconforté une fois de plus une personne timide , s'il est appelé à faire la même chose une troisième fois, sentira que je ne sais pas quelle vexation, non, même indignation, qui ne lui permettra pas de persévérer dans l'accomplissement de son devoir. Ainsi, si en réprimandant ou en réprimandant, nous ne faisons pas immédiatement le bien qui est à désirer, nous perdons tout espoir de succès futur. Paul avait en vue de brider l'impatience de cette nature, en nous recommandant la modération envers tous.

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