2. Car si je vous fais des excuses Ici nous avons la preuve de la déclaration précédente. Personne ne s'inquiète volontairement. Maintenant, Paul dit qu'il a un tel sentiment de sympathie avec les Corinthiens, (313) qu'il ne peut pas se sentir joyeux, à moins de les voir heureux. Bien plus, il déclare qu'ils étaient la source et les auteurs de sa joie - ce qu'ils ne pourraient pas être, s'ils étaient eux-mêmes douloureux. Si cette disposition prévaut chez les pasteurs, ce sera la meilleure retenue, pour les empêcher d'alarmer de terreurs ces esprits qu'ils auraient plutôt dû encourager au moyen d'une joyeuse affabilité. Car de cela découle une dureté excessivement morose (314) - pour que nous ne nous réjouissions pas du bien-être de l'Église, comme le devenait.

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