-

4. La multitude était divisée. La partie la plus gênante de la tragédie - (9) suit maintenant, car la ville est divisée en deux parties; et enfin Paul et Barnabas (étant forcés par le tumulte du peuple) partent pour un autre endroit. Si l'on exigeait ce qui était l'original de la discorde, assurément elle découlait de l'Évangile, auquel, cependant, il n'y a rien de plus contraire que de provoquer la discorde; mais la hardiesse des hommes fait que l'évangile, qui doit être le lien de l'unité, est (dès qu'il arrive à l'étranger) l'occasion de tumultes. C'est pourquoi, aussitôt qu'un schisme survient, avant de condamner ceux qui semblent en être les auteurs, il nous appartient de réfléchir sagement à qui doit porter le blâme. Nous entendons ici qu'une ville a été divisée, - (10) par laquelle certains ont été amenés au Christ. L'Esprit de Dieu déclare cela à la louange et non à la honte de Paul et Barnabas. La même règle que nous devons observer aujourd'hui, de peur que l'Évangile ne soit accablé d'une fausse envie, s'il ne rassemble pas les hommes - (11) à Dieu, mais le méchante rage contre elle. Il est assurément misérable de voir la division entre les hommes. Mais comme l'unité est maudite qui nous sépare tous de Dieu, il valait mieux que quelques-uns partent cent fois de tout le monde entier, et, dans la saison moyenne, reviennent en faveur de Dieu, que ce qui est en désaccord avec lui continuellement, ils devraient avoir la paix avec le monde. - (12)

" Catastrophe ," la catastrophe.

" Schismate ," par un schisme.

" Omnes pariter ," tous pareils.

" Mundi pac ."

Continue après la publicité
Continue après la publicité