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28. Avec une grande somme. Le capitaine en chef objecte à cela pour le réfuter comme s'il devait dire que la liberté de la ville n'est pas si courante et qu'elle est facile à obtenir. Comment se fait-il que vous, étant un vilain camarade du pays des Ciliciens, obteniez-vous cet honneur que j'ai payé gentiment? Alors que Paul répond qu'il est né libre, qui n'a jamais vu la ville, oui, dont le père n'est peut-être jamais là, il n'y a aucune raison pour que cela inquiète un homme. Car ceux qui sont habiles dans l'histoire romaine savent que certains ont été libérés de la ville qui habitait dans les provinces, si, ayant bien mérité du Commonwealth, ou en guerre, ou dans d'autres affaires importantes, ils désiraient et imploraient cette récompense. des députés, [proconsuls] de sorte qu'il n'est pas absurde de dire qu'il est né citoyen de Rome, qui, descendant par ses ancêtres d'une province très éloignée de Rome, n'a jamais mis les pieds en Italie. Néanmoins, la question est, comment cela peut tenir ensemble, que le capitaine en chef ait eu peur, parce qu'il avait lié un citoyen de Rome, et pourtant il ne l'a pas libéré de ses liens jusqu'au lendemain? Il se peut qu'il ait reporté cela au lendemain, de peur de montrer quelque signe de peur. Néanmoins, je pense que le capitaine en chef avait peur, parce que Paul était lié par son commandement, qu'il pourrait être flagellé, parce que c'était pour blesser le corps d'un citoyen de Rome, et pour briser la liberté commune, et que [ bien que] il était légal de mettre un Romain en prison.

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