26. Il a réprimandé les vents Marc raconte aussi les paroles du Christ, par lesquelles, adressant la mer, il enjoint silence, (σιώπα,) c'est-à-dire immobilité non pas que le lac ait eu une quelconque perception, mais pour montrer que la puissance de sa voix atteignait les éléments, qui étaient dépourvus de sentiment. Et non seulement la mer et les vents, qui sont sans sentiment, mais les méchants aussi, avec toute leur obstination, obéissent aux commandements de Dieu. Car quand Dieu se plaît à apaiser les tumultes de la guerre, il n'adoucit pas toujours les esprits féroces des hommes et ne les façonne pas à l'obéissance, mais même pendant que leur rage continue, fait tomber les bras de leurs mains: et ainsi s'accomplit que déclaration,

Il fait cesser les guerres jusqu'aux extrémités de la terre; il brise l'arc, coupe la lance en morceaux et brûle les chars au feu (Psaume 46:10.)

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