Le carquois râle contre lui - Le carquois était un étui fait pour contenir des flèches. Il était généralement suspendu à l'épaule, de sorte qu'il pouvait être facilement atteint pour tirer une flèche. Les guerriers à cheval, ainsi qu'à pied, combattaient avec des arcs et des flèches, ainsi qu'avec des épées et des lances; et l'idée ici est que le cheval de guerre portait sur lui ces instruments de guerre. Le cliquetis du carquois était causé par le fait que les flèches étaient lancées un peu lâchement dans le boîtier ou le carquois, et que dans le mouvement rapide du guerrier, elles étaient secouées l'une contre l'autre. Ainsi, Virgil, Aeneid ix. 660:

- pharetramque fuga sensere sonantem.

Silius, L. 12:

Plena tenet et resonante pharetra.

Et encore:

Turba ruunt stridentque sagittiferi coryti.

Donc Homer («Iliade, a.»), En parlant d'Apollon:

Τόξ ὤμοισιν ἔχων, ἀμφηρεφέα τε φαρέτρην

Ἔκλαγξαν δ ̓ ἄῤ ὀΐστοὶ ἐπ ̓ ὤμων χωομένοιο.

Tox́ ōmoisin echōn, amfērefea te faretrēn

Eklangxan d' aŕ oistoi ep' ōmōn chōmenoio.

Voir «Phys. Sac., in loc. »

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