Alors Pierre ouvrit la bouche. Il s'adressa à eux, avec un sérieux et une solennité dignes d'une si grande occasion ; et dit, D'une vérité que je perçois plus clairement que jamais, d'un tel concours de circonstances ; que Dieu ne fait pas acception de personnes N'est pas partial dans son amour. Les mots signifient, 1er, qu'il ne limite pas son amour à une nation ; comme les Juifs étaient prêts à supposer qu'il le confinait à leur nation. 2° Qu'il aime tout homme, et qu'il veut que tous les hommes soient sauvés ; mais dans toute nation celui qui craint Dieu et pratique la justiceCelui qui, 1er, révère Dieu comme infiniment grand, glorieux, sage, puissant, saint, juste et bon ; la cause, la fin, le propriétaire et le gouverneur de toutes choses ; et, 2d, à partir de cet affreux égard pour lui, non-seulement évite tout mal connu, mais s'efforce, selon la meilleure lumière qu'il a, de bien faire toutes choses ; est accepté de lui par Christ, bien qu'il ne le connaisse pas.

L'affirmation est expresse et ne souffre aucune exception. Il est dans la faveur de Dieu, qu'il apprécie ou non sa parole écrite et ses ordonnances. Néanmoins, l'ajout de ceux-ci est une bénédiction indicible pour ceux qui étaient auparavant dans une certaine mesure acceptés. Sinon, Dieu n'aurait jamais envoyé un ange du ciel pour diriger Corneille vers Pierre. Voir la note sur Actes 10:6 .

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