Et voici, je vais lié dans l'esprit à Jérusalem Fortement poussé par l'Esprit qui m'informe de mon devoir de telle manière, que je ne peux ni l'omettre ni le retarder. Je suis donc pleinement résolu à procéder, étant bien assuré que c'est par une direction et une influence divines que je le suis, et non par humour, fantaisie ou volonté de ma part. Ou, l'expression peut signifier, « prévoyant par l'Esprit que je serai lié », comme il suit dans le verset suivant. Donc Grotius et Whitby le comprennent. Ne pas savoir en particulier ; les choses qui m'arriveront là-bas Ce que je souffrirai dans cette ville, ou ce qui m'arrivera quand j'y viendrai; sauf que le Saint-Esprit témoigneÀ savoir, par d'autres personnes ; (car c'était le bon plaisir de Dieu de lui révéler ces choses, non pas immédiatement, mais par le ministère des autres ;) dans presque toutes les villes par lesquelles je passais ; disant Par la bouche des prophètes d'inspiration divine; que les liens et les afflictions demeurent Ou m'attendent Cela je le sais en général, bien que je ne connais pas les détails de ces souffrances ; tels que, d'où ils sortiront, quelle en sera l'occasion, quelles sont les circonstances, et à quel degré ils s'élèveront.

Ces choses que Dieu n'avait pas jugé bon de lui révéler. Lecteur, c'est pour notre bien d'être tenus dans l'ignorance des événements futurs, afin que nous puissions toujours nous attendre à Dieu, et l'attendre. Mais aucune de ces choses ne me plus grec, αλλ ' ουδενος λογον ποιουμαι, je ne fais aucun compte d'aucune de ces choses; je ne compte pas non plus ma vie cher Τιμιαν, précieux; à moi-mêmeA une telle occasion. Cela ajoute une grande force à ceci, et à tous les autres passages de l'Écriture, dans lesquels les apôtres expriment leur mépris du monde, qu'ils n'ont pas été prononcés par des personnes comme Sénèque et Antonin, qui parlaient avec élégance de mépriser le monde dans toute la richesse. de toutes ses jouissances ; mais par des hommes qui subissaient journellement les plus grandes calamités, et exposaient leur vie en preuve de la vérité de leurs assertions. Afin que je puisse terminer mon cours De devoir et de souffrance, en tant que chrétien et apôtre ; avec joie Résultant du témoignage de ma propre conscience, que dans la simplicité et la sincérité pieuse j'ai eu ma conversation dans le monde ;des preuves que j'ai plu à Dieu et que j'ai été considéré comme fidèle par lui, et d'une vive attente d'être approuvé par lui au jour des comptes définitifs, et de jouir de la félicité et de la gloire avec lui pour toujours ; et le ministère Le ministère infiniment important; que j'ai reçu du Seigneur Jésus dont il m'a gracieusement confié; pour témoigner l'évangile de la grâce de Dieu À laquelle la grâce, si gratuite et abondante qu'elle soit, je suis moi-même obligé au-delà de toute expression, et au-delà de tous les retours que je peux jamais faire par tout travail ou souffrance que je peux subir à son service.

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