L'un des deux qui ont entendu John parler de la manière ci-dessus racontée ; était Andrew Et probablement cet évangéliste, Jean, était l'autre, c'était sa coutume de cacher son propre nom dans ses écrits. Il André ; trouve d'abord son propre frère Simon Simon peut peut-être être appelé ici le propre frère d' Andrew, pour le distinguer d'une autre personne qui appartenait à la famille, qui pourrait être son beau-frère, ou qui ne lui serait apparenté que par des sang-mêlés. Pierre était une personne si remarquable, qu'il convenait de mentionner qui fut le premier moyen de lui faire connaître Christ ; et si Jean était l'autre disciple auquel il est fait référence ici, il pourrait entendre cela comme une humble indication que le zèle d'André était, à cet égard, plus grand que le sien. On voit ici que Pierre n'était pas le premier des disciples du Christ, mais qu'un autre était le moyen de le faire connaître. À cet égard, donc, les papistes n'ont pas de place pour la gloire. Et lui dit : Nous avons trouvé le MessieIl semble que le témoignage du Baptiste, joint aux preuves offertes par le Christ lui-même, dans la longue conversation que les deux disciples eurent avec lui, aient pleinement convaincu André.

Et il l'amena à Jésus afin qu'en conversant avec lui il fût satisfait de la vérité de ce qu'il lui avait dit. Et quand Jésus le vit Εμβλεψας αυτω, le regardant fixement, comme s'il avait lu sur son visage les traces de son caractère et de son futur service dans l'église; il dit : Tu es Simon Bien que Jésus n'ait jamais vu Simon auparavant, et que personne ne lui ait dit son nom ou sa filiation, immédiatement après son arrivée, Jésus le salua par le sien et le nom de son père, ce qui ne pouvait que frapper beaucoup Pierre. Il ajouta : Tu seras appelé Céphas, ce qui dit que l'évangéliste (car ce sont les siennes et non les paroles du Christ) est par interprétation une pierre ou un rocher, c'est-à-dire qu'il signifie en syriaque la même signification que le mot Pierre en grec. Il doit être observé, pour expliquer l'insertion de cette clause explicative, que Jean « a écrit son évangile en grec, et dans une ville grecque d'Asie Mineure ; et c'est pourquoi on avait d'autant plus soin de traduire en grec les noms hébreux, chaldéens ou syriaques, donnés dans un but spécial, dont ils étaient expressifs.

Et il y avait une plus grande raison de le faire dans les deux cas se produisant dans ce verset et le précédent, car les noms grecs étaient devenus familiers aux convertis asiatiques, qui ne connaissaient pas les noms orientaux. L'écrivain sacré y avait une double vision : 1° Expliquer la portée du nom ; 2° Pour empêcher ses lecteurs de se méprendre sur les personnes dont il est question. Ils savaient tous qui, ainsi que quoi, était signifié par Χριστος, Christ , mais pas par le mot hébreu, Messie. De la même manière, ils savaient qui s'appelait Pierre , mais auraient très facilement pu confondre Céphas avec une autre personne. Campbell.

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