Juda pleure Le peuple de Juda et de Jérusalem, ici considéré collectivement et représenté comme une mère opprimée par le chagrin pour les misères qui ont frappé ses enfants. Et les portes languissent, elles sont noires « Ils sont en deuil profond : » ainsi Blaney, qui observe : à mettre pour les personnes habituées à s'y rencontrer; de la même manière que lorsque nous disons : « La cour est en deuil », nous entendons les personnes qui assistent à la cour.

De sorte que par ce passage nous devons comprendre que toutes les personnes qui ont paru en public ont été abattues, et mises en noir, ou en deuil, à cause de la détresse nationale. Et le cri de Jérusalem est monté à savoir, au ciel : c'est-à-dire le cri des habitants de Jérusalem ; de leur péché et de leur trouble, mais pas, comme il semble, de leurs confessions, prières et supplications.

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