Job continua sa parabole Son discours grave et pesant. Comme Dieu vit, il confirme la véracité de ses expressions par un serment, parce qu'il les a trouvées très en retard pour croire ce qu'il professait. Qui a ôté mon jugement Qui, bien qu'il connaisse mon intégrité, ne plaide pourtant pas ma cause contre mes amis. Pendant tout ce temps mon souffle est en moi Qui est le compagnon constant et le signe certain de la vie ; ou mon âme ou la vie est en moi; et Esprit de Dieu Ou plutôt, le souffle de Dieu ; c'est dans mes narines que je proteste, qu'aussi longtemps que j'aurai du souffle dans mon corps, et qu'il me permettra de dire un mot ; mes lèvres ne diront pas la méchanceté, &c. Ma langue sera l'interprète fidèle de mon cœur, et je ne parlerai jamais autrement que je ne le pense.

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