Ils ont entendu que je soupire. Les nations qui me sont contiguës, l'Egypte et d'autres, qui auparavant prétendaient être mes amis et alliés, n'ont pas été étrangères à mes amères afflictions, qui m'ont forcé des soupirs ; mais il n'y en a aucun pour me consoler Aucun d'eux ne peut ou ne veut soulager ma détresse, mais m'abandonner comme dans une situation désespérée. Ils sont heureux que tu l'aies fait. Ils ont même exprimé leur joie des calamités qui m'ont frappé ; et ils se plaisent à penser que toi, notre Dieu, dont nous nous vantions de la faveur et de la protection, tu devrais nous abandonner et nous livrer en proie à nos ennemis. Tu apporteras le jour que tu as appelé, &c. Le jour où tu exécuteras tes jugements sur les Babyloniens, et nos autres ennemis et faux amis, viendra certainement au moment que tu auras déterminé à cet effet.

« Nous avons ici encore la même tournure de phrase que dans la première ligne de cette période ; car le sens est évidemment que les ennemis de Jérusalem finiraient par trouver peu de cause pour leur triomphe, puisque le même Être Tout-Puissant, qui avait fait venir son mauvais jour, avait déclaré qu'au bout d'un certain temps, ils subiraient aussi les comme le destin. Toi qui as amené le jour [d'adversité sur moi], tu as déclaré qu'ils deviendront comme moi. Blaney. Que toute leur méchanceté vienne devant toi Qu'il apparaisse que bien que tu nous as châtiés pour nos péchés, nos ennemis ont encore de plus grands à répondre et pour lesquels ils doivent être punis.

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