Celui qui épargne l' Hébreu, , retient; sa verge De son fils, quand elle lui est due ; ou qui retient cette correction qu'exige la faute de son fils, et que lui, en tant que père, est tenu de lui donner ; hait son fils Son affection affectueuse est aussi pernicieuse pour son fils que pourrait l'être sa haine ou celle d'un autre homme ; mais celui qui l'aime, le châtie de bonne heure. Soit, 1° Dans ses tendres années, dès qu'il est susceptible de profiter du châtiment ; ou, 2d, rapidement, avant qu'il ne s'endurcisse dans le péché. Ainsi, "comme le chapitre commence", dit Mgr Patrick, "avec une exhortation à écouter les reproches, en particulier de la part des parents, qui est répété à nouveau dans les treizième et dix-huitième versets, donc ici encore, dans l'avant-dernier verset, le conseil est donné aux parents de ne pas ménager la verge, si la réprimande ne suffit pas, certains enfants étant tellement disposés qu'ils doivent être ainsi traités.

Et cela semble être une merveilleuse sagesse chez les vieux Lacédémoniens, comme le raconte Plutarque, qui, par amour universel et souci du bien de l'autre, ont permis à tout homme de corriger l'enfant d'une autre personne, s'il le voyait faire. un raté. Et si l'enfant s'en plaignait à son père, c'était considéré comme une faute du père s'il ne le corrigeait pas à nouveau pour cette plainte. Car ils ne s'occupaient pas, selon Plutarque, de chacun seulement après ses propres enfants, serviteurs et bétail; mais chacun considérait ce qui était à son prochain comme sien, οτι μαλιστα κοινονωσι και φροντιζωσιν ως ιδιων, afin qu'il y eût, autant que possible, une communion entre eux; et ils pourraient prendre soin de ce qui appartenait aux autres, comme s'il s'agissait de leurs propres biens.

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