Tu couronnes l'année de ta bonté . Par ta puissante bonté, tu enrichis et ornes toutes les saisons de l'année de leurs fruits et de leurs bénédictions. Et tes sentiers Soit, 1er, tes nuages , (comme le mot מעגליךְ, est rendu dans la version liturgique,) sur lesquels on dit fréquemment que Dieu marche ou chevauche, et qui déposent de la graisse sur la terre; ou les sorties , ou voies de la bonté divine. Partout où Dieu va, parlant à la manière des hommes ou des œuvres, il laisse derrière lui les marques de sa miséricorde, il dispense de riches et salutaires bénédictions, et fait ainsi briller ses sentiers après lui. Mudge rend ce verset, Tu entoures l'année de ta richesse, et les traces de tes roues font tomber la graisse.Dieu est considéré, pense-t-il, dans son char, faisant le tour de la terre, et de ce char, c'est-à-dire les nuages, distillant partout graisse, fertilité et croissance. Ils sont les chemins de Dieu, les nuages ​​; tomber sur les pâturages du désert Et pas seulement sur les pâturages de la terre habitée.

Les déserts, dont l'homme ne se soucie pas et ne tire aucun profit, sont pourtant sous la garde de la providence divine ; et leur produit rejaillit sur la gloire de Dieu, comme le grand bienfaiteur de toute la création. Car par la présente, ils sont fournis avec de la nourriture pour les bêtes sauvages, dont, étant les créatures de Dieu, il prend donc soin et pourvoit. Et les petites collines Il entend principalement les collines de Canaan, qui, pour la plupart d'entre elles, n'étaient que petites, si comparées aux grandes et hautes montagnes qui sont dans diverses parties du monde. Il mentionne les collines , parce que, étant les plus sèches et desséchées par le soleil, elles ont le plus besoin de la pluie et en profitent le plus ; réjouis-toi de tous côtésC'est-à-dire tout autour comme étant revêtus de verdure, émaillés de fleurs et rendus fertiles à l'usage des hommes et des bêtes. Rien ne peut être plus élégant et poétique que la personnification des collines, des pâturages et des vallées dans ce verset et le suivant. Mais, en effet, comme l'observe à juste titre le Dr Delaney, tout ce paragraphe, du 9e verset au 13e, est "l'image de joie la plus ravissante, la plus poétique et la plus naturelle que l'imagination puisse former". Le lecteur de goût ne peut que le voir dans n'importe quelle traduction, si simple soit-elle. « Lorsque le divin poète eut vu les averses tomber du ciel et le Jourdain déborder de ses rives, toutes les bénédictions qui en résultèrent étaient à ce moment-là présentes à sa vue rapide et poétique, et il les peint en conséquence. »

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