Alors j'ai répondu , &c. C'est-à-dire après avoir vu et discerné ; Qu'est-ce que c'est, mon seigneur. Observez avec quel respect il parle à l'ange, l'appelant son seigneur ; ceux qui seraient instruits doivent honorer leurs maîtres. Il vit ce qu'étaient ces choses, mais demanda ce qu'elles signifiaient. Il est très souhaitable de connaître le sens des manifestations de Dieu de lui-même et de son esprit, à la fois dans sa parole et par ses ordonnances et ses providences. L'ange répondit, etc. : Ne sais-tu pas ce que c'est ?Cela pourrait être dit, non dans le but de réfléchir sur le manque de discernement du prophète, mais simplement pour exciter son attention : ainsi observe Capellus. Blayney, cependant, pense que, par cette question, l'ange entendait censurer la stupidité du prophète en ne percevant pas "ce qu'un esprit raisonneur et réfléchi, versé dans les allégories de la prophétie, aurait pu dans une certaine mesure au moins découvrir". Ainsi aussi Henri : « S'il avait considéré et comparé les choses spirituelles avec les choses spirituelles, il aurait pu deviner le sens de ces choses : car il savait qu'il y avait un chandelier d'or dans le tabernacle, que c'était l'affaire constante du prêtre de fournir avec l'huile, et pour la garder brûlante; quand, par conséquent, il vit en vision un tel chandelier, avec des lampes toujours allumées, et pourtant aucun prêtre pour l'assister, ni aucune occasion pour eux,Et j'ai dit : Non, mon seigneur, il fait un aveu naïf de son ignorance.

Continue après la publicité
Continue après la publicité