Non, vous faites le mal— Que le mal dont il est question ici était le fait que le fornicateur ait pris et gardé la femme de son père, les paroles de saint Paul, 2 Corinthiens 7:12 illustrant ce très mal, sont une preuve suffisante; et il n'est pas tout à fait improbable qu'il y ait eu quelque audition de cette affaire devant un juge païen ; ou du moins qu'on en avait parlé ; ce qui, s'il est supposé, donnera une grande lumière à tout ce passage, et plusieurs autres dans cette épître ; pour St.

L'argument de Paul, ch. 1 Corinthiens 5:12 ch. 1 Corinthiens 6:1 , etc. va clairement ainsi, cohérent et facile à comprendre, s'il se tenait ensemble comme il se doit, sans division en deux chapitres : « Vous avez le pouvoir de juger ceux qui sont de votre église, donc éloignez du milieu de vous ce fornicateur. Vous faites mal de laisser l'affaire devant un magistrat païen ; — N'êtes-vous pas, vous qui devez juger le monde et les anges, dignes de juger une affaire comme celle-ci ? » Voir Locke.

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