Ver. 4, 5. Sauf quand, &c. — Houbigant suit la lecture marginale de nos Bibles, joignant la première clause du 4e verset à la fin du 3e, comme explicative, observe-t-il, de la loi : comme si elle avait été dite , "Tu n'exigeras pas ta dette de ton frère, c'est pourquoi il n'y aura pas de pauvre parmi toi à cause de ta sévérité." Il affirme que les mots אפסאּכי epes-ki, ne peuvent signifier ici qu'à la fin que : asin que, en français.

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