Le chant des fous... M. Desvoeux, dans une longue et savante note, a montré que ce chant des fous se rapporte aux chants endiablés des bardes ambulants, qui étaient une sorte de chanteurs improvisés d'histoires dans les banquets, allant de place en place. , et adaptant leurs performances au goût de ceux qui les ont payés ou divertis ; et les louanges sont si agréables, surtout pour les grands et les riches, qu'il serait étonnant que les chansons qui devaient être payées n'eussent pas été remplies des éloges des acheteurs ; et je suppose que personne ne doutera que de telles chansons étaient plus agréables aux auditeurs et mieux payées que les réprimandes des sages. Voir Tull. de Oratore, ii. 86, et l'Essai de Pope sur Homère, p. 52.

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