Si un voleur est trouvé en train de rompre, c'est-à-dire s'il est trouvé en train d'entrer par effraction dans une maison, alors la raison et l'autodéfense justifiaient la destruction d'une telle personne, et en conséquence la loi divine a déclaré un tel homicide non coupable. La loi de Solon, et des douze tables, était d'accord avec cela ; et c'était l'une des lois de Platon, que si un voleur entrait la nuit dans la maison d'un homme, l'homme était justifié de le tuer. Nous ajoutons qu'il ne sera pas versé de sang pour lui : l'Hébreu n'est seulement pas de sang pour lui ; c'est-à-dire, dit Houbigant, qu'il n'y aura pas de vengeance de son sang : דמים damim, est souvent ainsi employé : pour lui se réfère au voleur, non à l'homicide.

Continue après la publicité
Continue après la publicité