Je — connais mes brebis, et je suis connu, etc. — Savoir ici, comme dans beaucoup d'autres passages de l'Écriture, implique bien plus qu'une simple connaissance spéculative ; — une connaissance d'amour et d'approbation. La force du passage est donc la suivante : « Étant le bon berger et propriétaire des brebis, je suis si prudent et soucieux de m'occuper de mon troupeau, que je ne connais pas seulement chaque brebis en particulier, mais je sais tout ce qui concerne mes brebis.

Je connais les circonstances dans lesquelles ils sont placés, je connais bien leurs besoins et je peux juger des secours dont ils ont besoin. D'ailleurs je les aime tous d'une ardente affection, et j'approuve leur obéissance à mon égard. Et comme je connais, aime et approuve mes brebis, ainsi je suis connu et aimé d'elles en retour : car elles ont juste des appréhensions de ma dignité et de mon caractère. En particulier, ils savent que je suis leur berger ; que je suis capable de les nourrir de connaissance, de les délivrer du châtiment du péché et de leur donner la vie éternelle.

Et ceci, notre connaissance et notre amour les uns pour les autres sont comme ceux qui subsistent entre le Père et moi. Je connais mes brebis, et je suis connu des miennes, ( Jean 10:15 comme le Père me connaît, et je connais le Père ; — car c'est ainsi qu'il faut lire le passage ;) et comme preuve de la grandeur de mon amour, Je donnerai ma vie pour les brebis, ce qu'aucun mercenaire ne fera jamais."

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