Tu m'élèves jusqu'au vent — Tu m'élèves : tu me fais monter sur le vent ; bien plus, tu dissout mon existence même. Bruyère. Houbigant rend la dernière clause, Mais le salut ne m'abandonnera pas ; ce qui semble bien se rattacher au verset suivant, où il dit : Car je sais que tu me mettras à l'état de mort, dans la maison vers laquelle tous les vivants se hâtent : le shéol, ou réceptacle général des bons et des mauvais. âmes. Voir Peters, p. 401.

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