Cependant, il ne s'étendra pas, &c. — Houbigant rend ce vers : Cependant la mort n'étendra pas la main à mon sépulcre ; mais si à ma dissolution, même cela sera pour mon salut. Voir sa note. Heath le lit différemment ainsi : Cependant, il n'étendra pas sa main dans sa force, bien qu'ils crient toujours si fort quand il m'afflige. L'auteur, dit-il, avec une grande élégance, fait de la mort et de la grave deux personnes (voir le verset précédent), qui crient à chaque coup porté sur le malade, comme si cela le rapprochait de leurs mains : un cri de triomphe, comme pour une victoire remportée.

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