Si elle a fait vœu dans la maison de son mari, c'est-à-dire si elle qui est veuve ou divorcée a fait son vœu du vivant de son mari ou avant qu'elle ne divorce. Ce sens, très naturel, distingue cette loi de celle du verset 6. Les rabbins disent que si elle était seulement fiancée, personne ne pourrait annuler son vœu, sauf son père et son mari ensemble.

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