C'est vain, etc. — C'est vain pour vous, vous qui vous levez tôt et vous vous reposez tard : qui mangez le pain de la fatigue : c'est ainsi qu'il donne le sommeil à sa bien-aimée. Mudge : qui observe, que les mots, c'est ainsi qu'il donne, et voici, dans le verset suivant, évidemment, comme il le suggère dans la note sur le titre, à une personne particulière que Dieu avait bénie, sans laquelle tous les efforts sont vaine. Certains rendent la dernière clause, Puisqu'il donne à sa bien-aimée le sommeil : mais Green traduit le passage, "C'est en vain que vous vous levez, etc.—à moins que le Seigneur ne bénisse vos efforts : alors qu'il donne à sa bien-aimée alors même qu'ils dormir." Le sens simple semble être que Dieu accorde et accorde à sonbien-aimés, ou aux hommes de bien, repos et confort de vie; et fournit en plus autant de richesses pour eux et leurs familles, que c'est le mieux pour eux ; et en effet, beaucoup plus de richesses authentiques, qu'ils ne peuvent en procurer qui se harcèlent et se fatiguent sans cesse, et se privent de la jouissance de tous les conforts mondains, afin d'enrichir leur postérité. M. Merrick semble l'avoir bien exprimé dans sa paraphrase :

Pourquoi vous lever tôt, vous reposer tard, Et manger le pain de la sollicitude ? Le baume du sommeil, son cadeau confère, Ses enfants ne font que partager.

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