Psaume 90:1

_Moïse, exposant la providence de Dieu, se plaint de la fragilité humaine, des châtiments divins et de la brièveté de la vie : il prie pour la connaissance et l'expérience sensée de la bonne providence de Dieu._ Une prière de Moïse, l'homme de Dieu. _TITRE. _אישׁ למשׁה תפלה TEPHILLAH _LEMOSHEH IIS... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:3

TU FAIS PÉRIR L'HOMME. L'écrivain sacré ÉVOQUE D' abord le peuple de l'éternité de Dieu, le refuge infaillible de ses fidèles serviteurs dans tous les âges ; et cela dans une très noble souche de poésie : après quoi il suit dans ce vers, _Tu deviendras homme :_ [Héb. עד אנושׁ תשׁב _tasheb enosh ad d... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:5

TU LES EMPORTES COMME UN DÉLUGE. Conforme aux idées des vers précédents, la mort est ici considérée comme une sorte de sommeil ; d'où ils devraient se réveiller le matin, frais et florissant comme une herbe : et je pense que nous avons cette image d'une résurrection qui nous est montrée plus d'une f... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:10

LES JOURS DE NOS ANNÉES SONT, &C.- Si cela peut être considéré comme un terme trop court pour le niveau général de la vie humaine dans ces premiers âges, comme on pourrait en déduire que Moïse ne pourrait pas être l'auteur de ce psaume, pourtant il convient bien au cas particulier des Israélites dan... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:11

QUI CONNAÎT LA PUISSANCE DE TA COLÈRE ? &C.— c'est-à-dire "En proportion de la crainte et du respect qui vous sont dus, en tant que grand Seigneur et Souverain du monde, ainsi les transgresseurs de votre loi peuvent s'attendre à leur punition." Quelque chose semble ici insinué au-delà des châtiments... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:13

REVIENS, Ô SEIGNEUR ! COMBIEN DE TEMPS... _Reviens, ô Seigneur ! combien de temps_ [ _ce sera le premier_ ] _? _Mudge : donnant plutôt le sens, que l'énergie emphatique de l'original ; qui s'exprime le mieux par la brusquerie de notre version.... [ Continuer la lecture ]

Psaume 90:17

ET QUE LA BEAUTÉ, ETC. — _Que le visage du Seigneur notre Dieu me sourie ; et fais prospérer l'ouvrage de nos mains. _Vert. Mgr Hare et Houbigant ont observé que les quatre mots à la fin du verset, qui sont ici laissés non traduits, ne sont qu'une répétition des mots précédents ; ce que ni la copie... [ Continuer la lecture ]

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