Je remercie d'abord, etc. — A l'entrée même de cette épître se trouvent les traces de toutes les affections spirituelles ; mais de reconnaissance surtout, par l'expression de laquelle commencent presque toutes les épîtres de saint Paul. Ici, il remercie particulièrement Dieu, que ce qu'autrement lui-même aurait dû faire, a déjà été fait à Rome. Mon Dieu, exprime la foi, l'espérance, l'amour, et par conséquent toute vraie religion. La bonté et la sagesse de Dieu sont remarquables, en ce qu'il a établi la foi chrétienne dans les principales villes, telles que Jérusalem et Rome, d'où elle pouvait se répandre dans le monde entier. Bengelius.

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