Et il a pleuré à l'Éternel, ... ou prié, comme toutes les taggumes, que Dieu apparaîtrait pour eux et les soulagerait dans leur détresse, ou, parlant humainement, ils doivent tous périr: Heureux c'est d'avoir un dieu Pour aller à l'heure des ennuis, dont la main n'est pas raccourcie qu'il ne peut pas sauver, ni son oreille lourde qu'il ne peut pas entendre! Moïse connaissait le pouvoir de Dieu et faisait confiance à sa fidélité pour lui faire de bonnes promesses, et le peuple, qu'il leur apporterait à la terre qu'il avait juré de leur donner:

Et le Seigneur lui a rendu un arbre, lequel quand il avait jeté dans les eaux, les eaux étaient riches. Ce que cet arbre n'a pas été connu; Si c'était dans sa propre nature douce, l'auteur d'Ecclésiasticus semble intimer, lorsqu'il dit, au chapitre 38: 5 "n'était pas de l'eau douce avec le bois, que sa vertu pourrait être connue?" Pourtant, un seul arbre ne pouvait jamais se détendre d'un flux d'eau, et une telle quantité que suffisante pour un grand nombre d'hommes et de bétail; et donc, que ce soit ce qu'il va, il doit être dû à une opération miraculeuse que les eaux ont été rendues douces par celle-ci: mais les écrivains hébraïques disent que l'arbre était amer lui-même et que le miracle était le plus grand: Gorionides L dit que c'était armoise; Et à la fois des tergues de Jonathan et de Jérusalem l'appelent l'arbre amer, Ardiphne, que Cohen de Lara M est la même que les botanistes appellent la rhodaphaaphne ou la rose Laurel, et qui, dit-il, porte des fleurs comme des lis, qui dépassent des lis, qui dépassent des amères, et sont du poison au bétail; et donc dit Baal Aruch n; et beaucoup la même chose a elias levita o: et cela convient assez bien avec la demande mystique et spirituelle pouvant être faite de cela; Si ces eaux amères sont considérées comme un emblème des malédictions amères de la loi, pour ce péché amer, qui rend le travail à une repentance amère; et pour lequel la loi écrit des choses amères contre le pécheur, ce qui, s'il n'est pas empêché, émettrait dans l'amertume de la mort; de sorte qu'un pécheur sensible ne puisse rien avoir à faire avec elle, ni ne peut lui donner une paix ou un réconfort: mais le Christ, l'arbre de vie, réalisé en vertu de la loi et plongé dans les souffrances, la peine de celui-ci et fait un malédiction, la loi est remplie, la malédiction et la colère de Dieu enlevée, le pécheur peut le regarder avec plaisir et obéir avec plaisir: ou si c'était peut-être pensé à représenter les afflictions du peuple de Dieu, comparable à l'eau pour leur multitude, et pour leur nature débordante et écrasante, et d'amer, d'être griette à la chair; surtout quand Dieu cache son visage et on pense être dans la colère: mais ceux-ci sont sucrés à travers la présence de Christ, la perte à l'étranger de son amour dans le cœur, les grandes promesses qu'il fait et s'appliquent, et surtout à travers ses souffrances amères et La mort et les fruits et les effets de ceux-ci qui soutiennent, rafraîchissent et encouragent, voient Hébreux 12:2,.

Là-bas, il a fait une loi et une ordonnance: non qu'il leur a donné à ce moment-là une loi particulière ou une précepte, qu'elle soit morale ou cérémonielle, telle que les lois de maintien du sabbat et d'honneur des parents, que le Targum de Jonathan mentionne P; et à quoi Jarchi ajoute que concernant la génisse rouge: mais il leur a donné une instruction générale et une ordonnance concernant leur comportement futur; Que s'ils ont écarté ses commandements et leur a donné obéissance à eux, ce serait bien avec eux, sinon ils doivent s'attendre à être châtieux et affligés par lui, comme observé dans le verset suivant, à laquelle cela se réfère:

et là il les a prouvés; les habitants d'Israël; Par ces eaux étant d'abord amers puis adoucis, en leur donnant une preuve et un spécimen comment ce serait avec eux ci-après; que si elles se sont comportées malades, elles doivent s'attendre à des eaux amères de l'affliction, mais sinon, agréables et bonnes choses: ou, "là-bas, il le prouva" Q; Moïse, son obéissance et sa foi, en lui ordonnant de jeter dans l'arbre, il lui a montré; Mais le sens précédent semble mieux être d'accord avec ce qui suit.

l He. HIST L. 6. c. 38. p. 742. M IR. David, p. 21. n fol. 51. 3. O Dans Méthurturant, Fol. 9. 2. P alors T. Bab. Sanhédrin. fol. 56. 2. SEDER OLAM RABBA, c. 5. p. 17. q ססהו "Tentavit Eum", Pagninus, Montanus, Drusius, V. L. Tigurine Version; "Prebavit Eum", Vatallus; "Tentavit ipsum", Junius Tremellius, piscator.

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