Et elle lui dit, mon père, [si] tu as ouvert ta bouche à l'Éternel, ... Le mot conditionnel "si" peut être laissé de côté, car ce n'est pas dans le texte original; Car son père lui avait dit qu'il avait ouvert sa bouche, ou avait fait un vœu au Seigneur et l'a sans doute expliqué à elle ce que c'était, bien que cela ne soit pas exprimé; Elle savait qu'elle la respectait, comme elle l'avait délivré et l'inquiétait, comme l'apparaît par sa demande ultérieure:

faire pour moi selon ce qui s'est passé de ta bouche; qui est un exemple remarquable de sous-évaluation filiale et d'obéissance à un parent et qui a peut-être été renforcé par une notion erronée comme celle de son père concernant le vœu, qu'elle ne pouvait être dispensée; et a donc été transféré sous un sens de la religion, ainsi que le devoir filial, de s'exprimer de cette manière, ainsi que de ce qui suit:

Forasque que le Seigneur a pris vengeance pour toi de tes ennemis, même des enfants d'Ammon: tel était son esprit public et le sens reconnaissant qu'elle avait de la bonté divine, en donnant la victoire sur les ennemis d'Israël et les livra d'eux, Avec vengeance sur eux, elle ne se souciait pas de ce qui lui a été fait; Oui, souhaitait que ce qui a été vœu pourrait être effectué.

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